Je te vois maman, et je me vois en toi.
Je me vois dans tes grandes vertus et je me vois aussi dans tout ce que je me suis juré de ne jamais répéter.
J'avais l'habitude de penser à la honte que j'aurais si je venais à te ressembler, tellement que j'ai effacé de ma perception tous les traits qui m'identifiaient à toi.
Puis, j'ai découvert que tout ce que je refusais de voir se manifestait plus intensément pour que je fasse attention. Quand j'ai pu reconnaître cette dynamique, j'ai pu me guérir et guérir en même temps ma lignée féminine.
Une guérison de la fuite, du rejet de l'autre et de soi-même.
Je vois de plus en plus de gens souffrir physiquement et j’ai toujours le sentiment de vouloir rappeler des petites choses de base…
Plus j'étudie la philosophie du Dr. Dispenza, plus ma perspective face à la vie fait un autre sens.
Nos cellules sont constamment en train d’observer nos pensées et se transforment avec elles.
On sait tous rationnellement que la joie et l’harmonie nous maintiennent en santé et prolongent notre vie. Que le souvenir de situations difficiles et/ou tristes libère en nous les mêmes hormones et substances...